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Communiqués de presse
Nouveautés à Missio Suisse
Fribourg, le 30 janvier 2024 - La nouvelle année commence pour Missio Suisse avec divers événements, actions et changements de personnel, tout cela entièrement au service de l'approfondissement de la dimension universelle de l'Eglise.
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L'évêque Antonio Crameri: «S'il vous plaît, aidez-nous et priez pour nous!»
L'Équateur s'enfonce dans le chaos. Les conditions proches de la guerre civile s'étendent, le nord-ouest du pays est particulièrement touché. C'est là qu'Antonio Crameri, originaire de Suisse, est évêque du Vicariat Apostolique d'Esmeraldas. «S'il vous plaît, aidez-nous et priez pour nous», a demandé l'évêque Crameri à ses compatriotes suisses. Avec le projet «Hospital de Campaña», il vise à prévenir la violence et à aider concrètement les victimes de la guerre civile sur place.
Merci de faire un don pour le projet «Hospital de Campaña» de l'évêque Antonio Crameri
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L'évêque Antonio Crameri (Équateur): «En tant qu'Église, nous préférons sauver des vies, dans les deux camps»
L'Équateur s'enfonce dans le chaos. Les conditions proches de la guerre civile s'étendent, le nord-ouest du pays est particulièrement touché. C'est là qu'Antonio Crameri, originaire de Suisse, est évêque du Vicariat Apostolique d'Esmeraldas et partenaire de projet de Missio Suisse. Dans un entretien avec Missio, il décrit la situation sur place et demande de l'aide.
Fribourg, 23.01.2024 Depuis la disparition sans laisser de traces du plus dangereux baron de la drogue du pays, José Adolfo Macías alias «Fito», de sa cellule de prison, l'Équateur est plongé dans le chaos. Le 8 janvier 2024, le président Daniel Noboa a décrété l'état d'urgence dans tout le pays et un couvre-feu nocturne. Depuis, les attaques terroristes se succèdent, le crime organisé sème la terreur au sein de la population équatorienne. Les membres des clans intimident régulièrement la population, par exemple en faisant exploser des voitures piégées ou en semant la panique dans les établissements publics tels que les universités, les écoles et les hôpitaux par des messages de menace ou des attaques. Ils ont ainsi pris d'assaut la chaîne de télévision publique de la ville portuaire de Guayaquil pendant une émission en direct. «Une grande partie des auteurs sont des adolescents, des jeunes sans expérience de la vie ni formation, envoyés au front pour se faire tuer, comme un morceau de viande à l'abattoir», explique Mgr Antonio Crameri à Missio Suisse, la branche suisse des Œuvres pontificales missionnaires.
Un lieu sûr pour les victimes de la violence
Né à Locarno et ayant grandi dans les Grisons, Mgr Crameri est arrivé en Équateur en 2002. Depuis 2021, il est évêque du Vicariat Apostolique d'Esmeraldas, dans la province du même nom au nord-ouest du pays, l'un des épicentres de la violence actuelle. «Nous sommes ici en guerre, en guerre civile», déclare l'évêque. Depuis décembre, sept barons de la drogue ont été tués dans cette province troublée, une violence qui provoque à son tour une contre-violence de la part des clans mafieux rivaux: stations-service en feu, attentats à la bombe contre le siège de la police, véhicules brûlés, pillages, destructions arbitraires et fusillades à répétition. De nombreuses personnes sont en fuite en raison de la violence galopante et de la menace personnelle. Ils doivent tout laisser derrière eux s'ils veulent sauver leur vie. «Il ne se passe pas une semaine sans que je reçoive un appel téléphonique d'une famille menacée me demandant de l'emmener dans un endroit sûr», explique Mgr Crameri.
L'aide concrète de l'Église pour les personnes sur place
Dans cette situation difficile, l'Eglise essaie d'être particulièrement proche des gens, et donc d'être proche sur place dans la province d'Esmeraldas. Par ses visites et son accompagnement spirituel sur place, l'évêque Antonio Crameri souhaite donner aux gens l'espoir de la foi et leur offrir une aide concrète. Avec le centre social «Hospital de Campaña», Mgr Crameri apporte une contribution efficace à la prévention de la violence et à l'aide aux personnes touchées par la violence dans la province d'Esmeraldas. Un concept global de prise en charge médicale, psychologique et spirituelle offre aux victimes des affrontements de la guerre civile une possibilité de repli et un soutien qu'elles ne peuvent pas obtenir de l'État. Le centre dépend toutefois d'une aide financière et de dons de l'étranger. «S'il vous plaît, aidez-nous et priez pour nous», demande Mgr Antonio Crameri aux Suisses. Vous pouvez faire un don pour le projet «Hospital de Campaña» ici: www.missio.ch/dons .
Mgr Antonio Crameri lance un appel depuis l'Équateur: «Aidez-nous, nous sommes en guerre civile».
Du 7 au 9 janvier 2024, l'Equateur a connu des jours de terreur. Le chaos règne toujours dans le pays: deux chefs de puissants cartels de la drogue se sont évadés de prison, il y a eu des prises d'otages, des voitures piégées, des attentats et des fusillades dans plusieurs provinces. Mais à quoi ressemble la vie quotidienne et que peut-on faire pour y remédier? C'est ce que nous avons demandé le 18 janvier lors d'un entretien avec Mgr Antonio Crameri, qui était l'invité de la campagne missionnaire d’octobre 2023. Antonio Crameri est né à Locarno, il vit et travaille en Équateur depuis 2002.
Missio Suisse: Monseigneur Crameri, comment voyez-vous la situation actuelle en Équateur? Peut-elle s'aggraver?
Mgr Antonio Crameri: La situation du pays est très délicate. Nous sommes en guerre, en guerre civile.
Le gouvernement a déclaré l'état d'urgence, avec un couvre-feu de 23 heures à 5 heures du matin, et a donné à l'armée des pouvoirs spéciaux. Et ce, pour une durée de 60 jours. Le lendemain, il a publié un autre décret déclarant la guerre aux gangs : tous leurs membres sont considérés comme des terroristes, donc des cibles à neutraliser.
D'autre part, les menaces continuent de la part des groupes criminels organisés, qui se sont désormais réunis en une seule «armée de libération». Ils appellent les gens à se ravitailler en produits de première nécessité, en bougies... et à ne pas sortir de chez eux.
Les provinces les plus «chaudes» sont Guayas, Esmeraldas, Los Rios, El Oro et Pichincha.
Ces deux derniers jours, il règne un calme apparent qui me préoccupe personnellement. Esmeraldas a toujours été une ville bruyante, avec de la musique dans toutes les maisons. Aujourd'hui, le silence règne... à tel point que même les oiseaux ont presque cessé de chanter
Ce qui fait peur, c'est le changement de président. D'une personne ouverte au dialogue et attentive à la protection des droits de l'homme, nous sommes passés à une personne à la poigne de fer. Personnellement, j'aurais préféré un juste milieu. La violence appelle plus de violence et, en tant qu'Église, nous préférons le dialogue, ce qui ne signifie pas négocier avec les terroristes, mais sauver des vies, dans les deux camps.
C'est dans les villes de Quito, Esmeraldas, Guayaquil et Cuenca qu'ont été signalés le plus grand nombre d'actes criminels, y compris des fusillades et la pose d'explosifs. Au total, 49 fonctionnaires pénitentiaires ont été enlevés dans la prison de Cotopaxi et 39 prisonniers se sont évadés de la prison de Chimborazo.
Des évasions ont également eu lieu à Esmeraldas. Treize personnes ont été prises en otage, dont deux ont été libérées hier, grâce à la médiation de l'Eglise locale.
Quelle est la situation concrète dans le Nord-Ouest et à Esmeraldas en particulier?
À Esmeraldas, nous avons vécu des heures de terreur en décembre déjà, après l'assassinat de sept chefs de gangs. Ces morts ont été vengés le lendemain par des actes de vandalisme : incendies de stations-service, bombes artisanales dans le commissariat de police et plusieurs voitures brûlées. À cela s'ajoutent des pillages et des destructions diverses.
Jusqu'à il y a deux jours, les fusillades étaient également fréquentes...
À Guayaquil, des gangsters ont attaqué trois hôpitaux et la chaîne de télévision nationale TC. De nombreux membres de gangs sont des adolescents, des jeunes sans expérience ni formation ... ils sont comme de la chair à canon envoyée au front pour être tuée.
Malheureusement, ceux qui tombent sont les «petits poissons», les vrais chefs s'en tirent à bon compte.
Connaissez-vous des personnes directement touchées par la menace et la criminalité actuelles? Comment font-elles face à la situation?
J'ai en main des données concernant le domaine de l'éducation : beaucoup d’institutions liées au Vicariat apostolique (NDT: le territoire dont Mgr Crameri a la charge comme évêque) ont vu de nombreuses familles retirer leurs enfants des écoles. Dans une école, plus de 160 élèves se sont même retirés parce que les familles étaient menacées. Sans parler de l'extorsion envers les professeurs. Rien qu'à Nuevo Ecuador, nous avons changé trois fois de recteur en l'espace d'un mois. Et la liste est longue.
Il ne se passe pas une semaine sans que je reçoive des appels à l'aide pour envoyer des familles entières menacées dans d'autres villes. En tant qu'Église, nous disposons du «protocole fantôme» (NDT: déplacement des personnes dont la vie est en danger en un lieu sécurisé) qui nous permet de soutenir les victimes. Ce protocole est également approuvé par des organismes internationaux.
Dans cette situation, que pouvez-vous faire comme évêque? Avez-vous des projets concrets d'intervention?
C'est précisément dans ces moments que l'on touche la présence de Dieu. D'abord en étant capable de rester calme et paisible. Ensuite en exerçant la pastorale de la présence: on ne fait rien ou presque, mais la simple présence de l'évêque, par un appel, une visite, une accolade... être ensemble et donner l'occasion de s'épancher... aide et fait renaître l'espérance. Tout cela est l'œuvre de Dieu... qui utilise de pauvres instruments, comme l'évêque, pour allumer, au milieu de ces ténèbres, la lumière de l'espérance.
Au-delà du «protocole fantôme», nous avons mis en œuvre il y a quelques mois ce que le pape François a proposé à l'ensemble de l'Église: un «Hospital de Campaña», un hôpital de campagne. Un lieu qui ne se contente pas de fournir des soins médicaux, mais qui devient aussi un symbole d'accueil, d'attention, de solidarité, de compassion et de guérison. Dans nos villes et nos provinces, cela répond au besoin de la proximité et de la caresse réparatrice d'une Église, qui soit comme une effusion de la tendresse du Christ, qui se penche sur les victimes et qui recherche la culture de la rencontre pour restaurer l'espoir.
En tant qu'Église, nous essayons de faire pression sur le gouvernement... dans l'espoir d'être entendus. Il suffit de dire que les choses qui fonctionnent ici sont entre les mains de l'Église: l'éducation, la santé, la maison de retraite...
Comment vous aider depuis la Suisse? Avez-vous besoin d'un soutien matériel dans cette situation?
Le foyer pour personnes âgées «Esposo Bishara», le seul qui fonctionne dans la province, a besoin d'être rénové. Nous avons également besoin d'aide pour l'hôpital d'Atacames, dont nous sommes propriétaires. Mais ce qui est le plus urgent, c'est le projet «Hospital de Campaña».
19 janvier 2024
Traduction de l’italien : Yves Carron, Missio Suisse
Antonio Crameri : un évêque suisse en Équateur
Antonio Crameri, 54 ans, originaire de Poschiavo dans les Grisons, est évêque du vicariat apostolique d'Esmeraldas en Équateur. Sur invitation de Missio Suisse, il a visité la Suisse du 11 au 16 septembre 2023 dans le cadre du Mois de la Mission universelle (Eglise hôte 2023 : Equateur).
Lors des différentes rencontres au Tessin, en Suisse romande et en Suisse alémanique, l'évêque, dont la nature joyeuse et ouverte a ému les cœurs des gens, a rendu sa mission concrète et compréhensible grâce à des récits marquants de la vie en Équateur. « L'illégalité est la normalité », résume l'évêque Crameri en évoquant le quotidien des habitants d'Esmeraldas. Cela signifie la violence quotidienne, la corruption et la pauvreté omniprésentes. C'est avec la conviction et la certitude que sa vie ne lui appartient pas, mais qu'elle appartient à Dieu, qu'il relève chaque jour ces défis. C'est sa foi inébranlable et solide qui est apparue clairement lors de ses rencontres en Suisse. Pour lui, la mission signifie : ne pas avoir peur d'aller vers les personnes en marge - comme le dirait le pape François -, d'avoir du temps pour elles et de prendre part à leur vie.
Conformément à sa devise d'évêque Caritas Christi urget nos ("L'amour du Christ nous pousse", 2 Cor 5,14), il met en pratique la doctrine sociale catholique, avec le souci de la justice sociale, de l'éducation (34 établissements pour 30'000 élèves) et de la santé. L'unique hôpital de San Lorenzo, à la frontière avec la Colombie, et la maison de retraite d'Esmeraldas sont par exemple gérés par le vicariat.
Pour lui, soutenir ces personnes par la foi ancrée en Jésus-Christ est une préoccupation centrale, car il leur manque beaucoup de choses pour vivre dignement. L'évangélisation et l'amour du prochain vont indissociablement main dans la main chez lui. Aidons-le dans ce sens.
Les cardinaux Koch et Tagle félicitent l'engagement des Chanteurs à l'étoile
Fribourg, le 5 janvier 2024 - Lors de rencontres au Vatican avec des Chanteurs à l'étoile suisses, les cardinaux Kurt Koch et Luis Antonio Tagle ont félicité l'engagement des enfants et les ont qualifiés de modèle pour l'ensemble de l'Eglise universelle. Appel à soutenir l'action des Chanteurs à l'étoile 2024 de Missio Suisse.
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Les chanteurs à l'étoile défilent à l'autel de la basilique Saint-Pierre
Fribourg/Vatican, 1er janvier 2024. On a pu voir sur les images de télévision l'importance de ce grand moment pourLukas, originaire d'Herisau (AR). Avec Ines et Nils d'Allemagne, il s'est approché de l'autel de la basilique Saint-Pierre avec un sourire joyeux, mais en même temps avec dignité, lors de la préparation des dons avec le vin. Vêtus de leurs habits de fête et de leurs couronnes scintillantes, les trois chanteurs à l'étoile ont pu participer à la messe du Nouvel An avec le pape François dans la basilique Saint-Pierre de Rome ce lundi 1er janvier.
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Les Chanteurs à l'étoile suisses participeront à la messe du Nouvel An célébrée par le pape François
Fribourg, 26.12.2023 Une mission très particulière attend Annina, Melanie, Louis et Lukas pour le Nouvel An 2024 : les quatre Chanteurs à l'étoile suisses de Herisau (AR) participeront à la messe du Nouvel An célébrée par le pape François dans la basilique Saint-Pierre. Seize autres Chanteurs à l'étoile d'Allemagne, de Slovaquie, du Tyrol du Sud et de Hongrie seront également présents au Vatican le 1er janvier. Les filles et les garçons sont invités à Rome pour la nouvelle année.
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Les Chanteurs à l’étoile au Palais fédéral
Mardi, le président du Conseil national Eric Nussbaumer a reçu trois groupes de Chanteurs à l'étoile, représentant les plus de 10'000 Chanteurs à l'étoile de toute la Suisse, au Palais fédéral à Berne. Les groupes des cantons de Nidwald, Fribourg et du Tessin ont également rencontré des parlementaires de tous les partis. L'accueil au Palais fédéral est un signe de la grande estime que la politique nationale porte à la plus grande action de solidarité d’enfants en Suisse destinée aux enfants. L'événement au Palais fédéral marque également le lancement de l'action des Chanteurs à l'étoile 2024 de Missio Suisse.
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Communiqué de presse
Pour l'action des Chanteurs à l’étoile 2024
Fribourg, le 28.11.2023. Dans le temps de l’Avent et jusqu’à l'Epiphanie, environ 10'000 enfants et jeunes seront à nouveau en route dans toute la Suisse en tant que Chanteurs à l'étoile. Costumés en bergers et en rois mages, ils vont de maison en maison chanter et apporter la bénédiction de Dieu pour la nouvelle année et récolter des dons pour les enfants dans le besoin.
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stand missio-enfance lors de l’Olympiade des familles
Belles rencontres au stand Missio-Enfance le 24 septembre 2023 : pendant que les parents découvraient l’action de Missio-Enfance et des Chanteurs à l’étoile, les enfants ont eu la joie de participer au concours de dessin et furent enchantés de recevoir un bracelet tissé de Bolivie ainsi que le signet avec la prière des enfants missionnaires. Cette prière les relie à tous les enfants du monde.
Tous ont dégusté le chocolat Missio au bon goût solidaire.
Merci à toutes et à tous.
Un Mois de la Mission universelle inspiré par l’exemple de l’Église en Équateur
«Le cœur brûlant, se mettre en chemin», tel est le thème du Mois de la Mission universelle 2023, centré sur le récit biblique des disciples d'Emmaüs (Lc 24, 13-35). Ce récit nous montre de manière vivante le passage qui se fait dans la foi, de la tristesse à la joie et du découragement à l'audace ; il montre aussi que la clé de ce changement est Dieu et son attachement à lui. Ce changement a bien sûr besoin de temps et d'espace.
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Revue de presse
Missio suisse va faire de son siège une Maison de l’Église universelle
Nouvelle année, nouvelle équipe, nouvelles actions. C’est avec des changements au niveau de son personnel et quelques beaux projets dans son escarcelle que Missio Suisse aborde 2024, et toujours avec cette constante: se mettre «au service de l’approfondissement de la dimension universelle de l’Église».
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LES CHANTEURS DES ÉTOILES LE 1ER JANVIER À ROME POUR LA MESSE AVEC LE PAPE
05 janvier 2024 - On a pu voir sur les images de télévision l'importance de ce grand moment pour Lukas, originaire d'Herisau (AR). Avec Ines et Nils d'Allemagne, il s'est approché de l'autel de la basilique Saint-Pierre avec un sourire joyeux, mais en même temps avec dignité, lors de la préparation des dons avec le vin. Vêtus de leurs habits de fête et de leurs couronnes scintillantes, les trois chanteurs à l'étoile ont pu participer à la messe du Nouvel An avec le pape François dans la basilique Saint-Pierre de Rome ce lundi 1er janvier.
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Revue de presse
Des Chanteurs à l'étoile rencontrent le pape
02 janvier 2024 - Une vingtaine de Chanteurs à l’étoile venus de Suisse, de Tyrol du Sud, d’Allemagne, d’Autriche, de Slovaquie et de Hongrie ont participé à différents événements de passage à la nouvelle année, au Vatican. Certains d’entre eux ont vécu un moment émouvant en rencontrant le pape François, après à la messe du 1er janvier 2024, dans la basilique St-Pierre.
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Visite des Chanteurs à l'étoile à la Garde Suisse Pontificale à Rome
31 décembre 2023 - Venue d’Herisau, dans le canton d’Appenzell Rhodes-Extérieures, une délégation de quatre Chanteurs à l’étoile, qui participent le 1er janvier 2024 à la messe du Nouvel An à Rome avec le pape François, a été reçue par la Garde Suisse Pontificale.
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Revue de presse
Les Chanteurs à l’étoile au Palais fédéral
21 décembre 2023 - Le président du Conseil national Eric Nussbaumer (BL) a reçu le 20 décembre 2023 trois groupes de Chanteurs à l’étoile des cantons Fribourg, Tessin et Nidwald. L’accueil au Palais fédéral est un signe de la grande estime que la politique nationale porte à la plus grande action de solidarité d’enfants en Suisse destinée aux enfants.
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Revue de presse
ONZE PETITES CHANTEUSES ONT SUIVI L'ÉTOILE, UN REPORTAGE DE CANAL ALPHA
Entre l'Avent et l'Epiphanie, plus de 10'000 enfants costumés en Rois mages parcourent les rues pour chanter et récolter des fonds. A Boudry, samedi, onze petites chanteuses ont donc enfilé leurs plus beaux habits et pris une étoile avant de faire le tour du village.
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Revue de presse
ARTICLE DU MÉDIA CATH.CH SUR LE SÉJOUR DE LA DÉLÉGATION SUISSE À ROME
2 janvier 2023 - Le média catholique cath.ch relate le séjour des quatre jeunes Saint-Galloises parties à Rome pour représenter les Chanteurs à l'étoile de toute la Suisse à la messe de Nouvel An du pape François.
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Revue de presse
Le cortège de l’Epiphanie a serpenté les rues de la Basse Ville de Fribourg
La RTS a consacré un reportage télévisé sur le cortège de l'Epiphanie de Fribourg, auquel participent les Chanteurs à l'étoile des quartiers de l'Auge-Neuveville.
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Revue de presse
Quatre jeunes Saint-Galloises ont représenté la Suisse à Rome
Retour sur le séjour à Rome des quatre jeunes Saint-Galloises qui ont représenté la Suisse parmi les délégations européennes de Chanteurs à l'étoile du 29 décembre 2022 au 1er janvier 2023.
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Revue de presse
Les Chanteurs à l’étoile au Palais fédéral
Le journaliste Maurice Page, du média cath.ch, a suivi la délégation de Chanteurs à l'étoile qui a rencontré les parlementaires au Conseil fédéral à Berne.
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Revue de presse
Réjouissances au Palais
Découvrez le compte-rendu de La Liberté sur la visite des Chanteurs à l'étoile au Palais fédéral, le 13 décembre 2022.
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Revue de presse
Coup d’envoi de l’action des Chanteurs à l’étoile 2023
Un groupe de Chanteurs à l'étoile a rencontré les évêques suisses le 28 novembre 2022 à Mariastein (Soleure). L'occasion pour les évêques de donner leur bénédiction à l'action des Chanteurs à l'étoile 2023.
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Revue de presse
Les Chanteurs à l'étoile se mobilisent pour les droits de l'enfant
La traditionnelle action des ›Chanteurs à l’étoile’ de Missio, met cette année l’accent sur la protection et les droits des enfants. Les fonds récoltés soutiendront notamment la fondation ALIT en Indonésie qui lutte contre la violence envers les enfants.
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Revue de presse
L'émission "Messager du Monde" reçoit Sylvie Roman
Sylvie Roman, responsable du secteur "Eglise universelle" à Missio, parle de la mission de l'Eglise dans l'émission "Messager du Monde" animée par l'abbé Charles-Olivier Owono, sur les ondes de Radio Maria Suisse romande.
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Revue de presse
Avec Missio, la recherche des "Pauline"
Anne-Valérie Gaillard, dans son émission "Témoignages" sur Radio Maria Suisse romande, reçoit Sylvie Roman pour expliquer l'action de "recherche des Pauline".
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Revue de presse
Pauline Jaricot, femme d'action et de prière
Lucienne Bittar, dans la revue jésuite "Choisir", s'intéresse à la personne de Pauline Jaricot. "Lyonnaise laïque du XIXe siècle français post-révolutionnaire, portée par des élans mystiques et l’universalisme de l’Évangile, elle sera à la fois Propagatrice de la foi, fondatrice du réseau du Rosaire Vivant et entrepreneuse pionnière du catholicisme social en milieu ouvrier".
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Revue de presse
"Pauline Jaricot: une prière par jour, un sou par semaine"
Le journaliste Jérôme Favre relève que "si elle n'est pas aussi connue que le saint curé d'Ars, qu'elle a côtoyé, elle est une figure tout aussi inspirante" dans cet article relatant la vie de Pauline Jaricot.
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Revue de presse
Missio: Martin Brunner-Artho passe le témoin à Erwin Tanner-Tiziani
Cet article de cath.ch relate le passage de témoin entre Martin Brunner-Artho, ancien directeur de Missio, et Erwin Tanner-Tiziani.
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Revue de presse
"Une grande dame missionnaire"
Pascal Fleury, responsable de la page Religions de La Liberté, a consacré un article à Pauline Jaricot, dans le cadre de sa béatification.
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Revue de presse
Le grand plan de Pauline Jaricot: le Rosaire vivant
Pauline Jaricot est passé de la lumière à l'obscurité à la fin de sa vie, comme le démontre Maurice Page dans cet article publié sur cath.ch et qui constitue la fin d'une série consacrée à la bienheureuse.
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Revue de presse
Le grand plan de Pauline Jaricot: le Rosaire vivant
Pauline Jaricot a acquis une notoriété considérable aux yeux de ses contemporains grâce au Rosaire vivant, une initiative qui a vu le jour en 1826, comme le rappelle le journaliste Maurice Page dans cet article publié sur cath.ch.
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Revue de presse
Pauline Jaricot: la fille qui faisait des plans
Maurice Page, journaliste à cath.ch, relate la jeunesse de Pauline Jaricot dans cet article passionnant expliquant la genèse de l'Oeuvre de Propagation de la Foi, dont nous fêtons cette année le bicentenaire.
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Articles à disposition des journalistes
éléments biographiques sur Pauline Jaricot
Vous voulez en savoir plus sur Pauline Jaricot? Née après la Révolution française, c'était une femme profondément ancrée dans époque en plein bouleversements. Retrouvez dans le résumé ci-dessous les grandes lignes de sa vie et des dates clefs.
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Erwin Tanner-Tiziani, le nouveau directeur de Missio Suisse
"Portons notre témoignage venu de Jésus-Christ en paroles et en actes jusque dans les coins les plus reculés du monde."
Erwin Tanner-Tiziani, 55 ans, est le nouveau directeur de Missio Suisse depuis le 1er janvier 2022. Il était, jusqu’au 31 décembre 2021, le Secrétaire général de la Conférence des évêques suisses. Erwin Tanner-Tiziani succède à Martin Brunner-Artho, qui sera responsable de la formation au séminaire St-Beat à partir de l’été 2022. En raison des mesures prises pour endiguer la pandémie de coronavirus, il n’a pas encore été possible de procéder à un acte officiel de passage de témoin ; celui-ci aura lieu le 3 juin en présence d’invités.